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UN LIEN ENTRE ECZÉMA ATOPIQUE ET HIVER ? 

UN LIEN ENTRE ECZÉMA ATOPIQUE ET HIVER ? 

Votre dermatologue est aussi celui qui éduque le patient afin d’acquérir les compétences dont il a besoin pour gérer au mieux sa vie avec une maladie chronique, telle que l’eczéma atopique.

C’est la maladie de peau qui génère le plus de consultations. L’eczéma atopique, s’il concerne principalement les enfants, peut persister à l’âge adulte. Des précautions d’hygiène rigoureuses associées à des traitements médicaux, peuvent permettre d’atténuer voire d’espacer les poussées donc de retrouver une meilleure qualité de vie .

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VERS UNE REVANCHE DES PEAUX ACNÉIQUES ?

VERS UNE REVANCHE DES PEAUX ACNÉIQUES ?

« L’épiderme des personnes ayant eu de l’acné durant l’adolescence résisterait mieux au vieillissement. » Cette phrase arrive comme un cadeau de Noël. La peau des personnes ayant souffert d’acné juvénile vieillirait plus lentement. C’est ce que suggère les chercheurs du King’s College London après avoir mesuré la longueur des télomères des globules blancs de 1 205 individus.

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DES ROUGEURS PERSISTANTES ? ET SI CELA ÉTAIT LA CAUSE D’UNE INFLAMMATION

L’inflammation cutanée est apparue sous le terme d’inflammaging pour désigner l’inflammation et le vieillissement de la peau provoqué par cette inflammation chronique des cellules.

Il faudra plus qu’un extincteur pour lutter contre cet état inflammatoire qui peut se caractériser par des rougeurs permanentes mais aussi une inflammation silencieuse ni vu ni connu jusqu’à être l’une des principales causes d’accélération du vieillissement.

Faut-il éradiquer le diabète, l’obésité, l’alzheimer, Parkinson, les maladies cardio-vasculaires et même certains cancers pour en venir à bout ? Non peut être pas, même si tous ont en commun l’inflammation.

Sur la peau cela touche le renouvellement de l’épiderme comme la structure du derme, tous les signes de l’âge sont amplifiés, des rides aux désordres pigmentaires. Cela signifie que nous sommes tous «inflammés » ? Difficile de le savoir pour le moment. Une chose est sûre, faire moins que son âge pourrait cependant être le signe que notre organisme est moins sujet à cette inflammation.

Car d’après une étude, menée au Danemark sur des milliers de jumeaux il a été constaté qu’à chaque fois, celui des deux jumeaux qui faisait le plus jeune physiquement s’est révélé avoir aussi la plus longue espérance de vie.

Pour compliquer les choses, l’inflammation peut être positive. Lorsque l’organisme déclenche une réaction inflammatoire pour se défendre face à des agresseurs (virus ou bactéries, par exemple), et aussi pour activer la régénération en cas de tissus endommagés par une blessure.

Le problème arrive lors la phase de réparation n’a pas lieu. Pourquoi ? Parce que l’organisme, dépassé par une multitude d’agresseurs à gérer (liés à notre mode de vie, à notre environnement…), développe des petites réactions inflammatoires continues, avec stimulation régulière d’un tas d’enzymes destructrices qui grignotent nos tissus sains.

Pour la minimiser il faut certes améliorer son hygiène de vie en adoptant une meilleure alimentation en respectant la balance alcalin/acidifiant. En consommant des aliments « anti-inflammatoires » comme le gingembre, le curcuma+poivre mais aussi les oméga-3, les noix, les légumes, rouges, verts.

Au centre dermatologique du Roy nous disposons de la gamme de cosmétiques sur-ordonnance Universkin qui cible précisément l’inflammation de la peau grâce à un sérum contenant de l’oméga-3 et des peptides mais aussi des actifs ciblant l’inflammation ( rougeurs, désordre pigmentaire… )

N’oublier pas pour couronner le tout de vous protéger des UV, de chasser le stress, de bouger avec des pratiques sportives, de dormir suffisamment.

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